Dans la plus récente édition de livraison rapide, nous parlerons de la tradition de certains pays de manger avec les mains, nous dévoilerons une nouvelle façon qu’ont trouvé les restaurateurs pour contourner la loi des paiements à l’avance et nous vous ferons découvrir un autre restaurant caché.

D’abord, manger avec ses mains n’est pas une façon de faire réserver uniquement aux bébés. Bien des nations ont conservé cette tradition, et pour plusieurs raisons. C’est le cas sur le continent africain mais aussi en Océanie, dans certaines régions de l’Asie, dans les Caraïbes et maintenant l’expérience est encouragée dans certains restaurants de la métropole. Le fait de manger avec ses mains permettrait de renforcer l’intention de partage du repas en communauté, en famille et entre amis. Et c’est probablement plus facile qu’avec des baguettes, non?

Ensuite, saviez-vous qu’il existe une nouvelle façon pour les restaurateurs de s’assurer de la présence de ceux qui réservent? Il suffit de les faire payer d’avance… mais en contournant la loi d’abord. En effet, il est impossible de faire payer un consommateur pour un service non rendu. Voilà pourquoi les restaurateurs ne peuvent vous exiger de versement, pas même de dépôt, lors d’une réservation. Cependant, si la soirée est plutôt perçue comme un événement, cette loi ne s’applique plus. C’est pourquoi certains établissements suggèrent un menu fixe lors des soirées du 31 décembre ou du 14 février, les deux pires dates pour l’absentéisme. Dans un avenir pas si lointain, attendez-vous à voir cette tendance prendre de l’ampleur…

Finalement, un autre restaurant caché se dévoilera au cours des prochains jours. Il s’agit du restaurant que lancera les propriétaires du Tite Frette Bières et compagnie de Saint-Jean-sur-Richelieu et qui aura pour nom « Parles-en pas trop ». Avec ce nom, assez évident que les détails sont difficilement trouvables sur le web… Vous ne connaîtrez l’adresse exacte qu’au moment de la réservation. Une fois sur place, ne cherchez pas l’affiche extérieure. Il n’y en aura pas. Cet été, une terrasse sera aménagée, mais dans une cour intérieure, donc à l’abri des regards indiscrets. Voilà un autre concept qui nous plongera dans le temps de la prohibition.