Cette nouvelle édition de Livraison rapide vous fera découvrir une nouvelle websérie souhaitant mettre la lumière sur le positif de la restauration, vous décrira la croissance des produits du restaurant C’est Belge dans les supermarchés et soulignera le succès obtenu par le resto-bar chinois Gon Bui à Laval.

D’abord, la websérie Le resto d’après nous invite à suivre quelques jeunes chefs québécois qui ont fait face à la pandémie et qui ont dû repenser leur profession. Comme ce fût le cas pour la population en générale, ces jeunes gens ont été forcé d’effectuer beaucoup de changements dans leur vie personnelle et professionnelle, heureusement pour le mieux. C’est du moins ce que tente de démontrer le réalisateur Bruno Florin au cours des six épisodes disponibles sur la plateforme Mordu.

Du même souffle, il souhaite faire voir une autre facette de la restauration que celle toujours négative qui est véhiculée depuis deux ans. Au cours de ses rencontres, il a découvert des gens simples, fébriles et sensibles. Loin du modèle des grandes vedettes qui font le tour des grandes émissions de télévision. Avec cette série, vous découvrirez vous-même des chefs qui sont aussi des pères et des mères qui aspirent à une certaine qualité de vie dans un environnement équilibré.

Ensuite, le restaurant granbyen C’est Belge a le vent dans les voiles et les propriétaires travaillent actuellement sur plusieurs projets. Le plus important est cependant l’aménagement d’une fabrique de gaufres qui servira principalement à fournir la centaine points de vente de leur produit vedette « Les gaufres de Liège ». C’est qu’au cours des derniers mois, ces gaufres vendus dans les supermarchés n’ont cessé de faire des adeptes et la production à même les cuisines des deux restaurants ne suffisait plus à la demande. Selon les dirigeants, un investissement d’environ 150 000 $ sera nécessaire seulement pour acheter les nouveaux équipements.

Les gaufres de Liège sont présentement disponibles en deux variétés. Mais avec cet investissement, le développement de nouveaux produits pourrait être créés. Les propriétaires souhaitent également utiliser ce nouvel espace de production comme cuisine centrale pour les deux restaurants et en profiter pour augmenter leur offre de service de traiteur qui est en demande croissante.

Finalement, le succès ne s’est pas fait attendre pour le resto-bar chinois Gon Bui, ouvert à pareille date l’an dernier, en plein cœur d’une autre vague pandémique et de restrictions sanitaires.

Ainsi, après 12 mois d’opération, les cinq copropriétaires peuvent dire mission accomplie et même se vanter d’avoir dépasser leurs prévisions. Bien des éléments peuvent expliquer cette réussite : l’emplacement (proche du Carrefour Laval), le grand stationnement, le décor (de grandes fenêtres pour la luminosité, un arbre d’enveloppes rouges imitant une tradition chinoise et des piliers faisant penser à ceux d’un ancien temple) et bien sûr la cuisine (plats à partager formule tapas et camion de rue). D’ailleurs, il est maintenant possible d’aller bruncher. Et attention, parce que l’expérience doit se vivre entre les quatre murs de l’établissement, le restaurant n’offre aucun plat pour emporter ni de livraison.