VAN HORNE CUISINE DU MARCHE, une cuisine moderne, raffinée et axée sur les produits de saison. Une nouvelle destination gourmande à Outremont.
La carte, créée par Eloi Dion, se renouvelle régulièrement et propose à tous les jours, petites et grandes assiettes, entrées et plats qui peuvent se partager et se combiner.
Eloi Dion, chef
Avant de s’installer au piano du Van Horne, Eloi Dion a officié pendant quatre ans au 357C, club privé de Daniel Langlois dans le Vieux-Montréal. En quinze ans de métier, il a travaillé dans plusieurs établissements, à Montréal (Restaurant Le Deux, le Lychee, Exotica, l’Armoricain, Le Parigot…) et à l’étranger (Spoon Bistro à Singapour, Chez Simone dans le Gers, en France). Grand voyageur, Eloi Dion mise sur ses expériences. Son travail est technique autant qu’artistique avec une ouverture sur des saveurs et textures nouvelles.
Le Van Horne – Une table d’écoute.
Le travail en cuisine est rigoureux, et ce, malgré l’exiguïté du lieu d’office. En cuisine ou en salle, nous participons aux plaisirs de nos invités. Le bonheur passe par l’assiette, mais elle dépend aussi de l’accueil, du service, de la musique et du décor. Étonnants mais aussi minimalistes, les murs du Van Horne sont ornés d’objets hétéroclites comme les portes de plâtre et de miroirs destinées au pavillon de l’Iran d’Expo 67, les assiettes en papier de Roy Lichtenstein, le Picasso de Richard Bernstein, Bill, notre totem et autres trouvailles.
Dans les oreilles de...
Nous avons proposé à plusieurs personnalités et amis de venir « jouer avec nous » en nous prêtant leurs oreilles. Au fil des semaines, des mois, ces invités vous allumeront de leurs choix de musique avec leurs playlists tout en respectant l’esprit du restaurant.
William Van Horne, l’histoire de l’homme derrière le nom de l’avenue
Américain de naissance et Montréalais d’adoption, William Van Horne était un homme d’affaires déterminé, doublé d’un collectionneur averti et d’un épicurien qui valorisait les produits frais de la ferme et les fruits exotiques. À 45 ans, il devient président du Canadien Pacifique. Passionné d’architecture, Van Horne participe à l’élaboration des plans d’établissements luxueux dont le Château Frontenac. Fin gourmet et doté d’une exceptionnelle curiosité scientifique, William Van Horne fait construire des fermes de recherche pour améliorer la culture du blé et, dans les Maritimes, une grange gigantesque pour l’élevage du bétail et de la volaille ainsi que des serres expérimentales pour la culture de fruits tropicaux. Mécène et grand collectionneur, Van Horne acquiert de nombreuses toiles importantes. En 1945, sa fille Adaline, lègue au Musée des Beaux Arts de Montréal, l'incroyable collection de son père - soit une soixantaine de tableaux de maîtres anciens et modernes, dont Femmes poursuivies par des satyres, du peintre français Honoré Daumier et plusieurs Cézanne et Gauguin. William Van Horne est mort, en travaillant dans son atelier de la rue Sherbrooke, le 11 septembre 1915.
ADRESSE : 1268, avenue Van Horne (entre Outremont et Champagneur – métro Outremont)
Montréal, Québec H2V 1K6
(514) 508-0828
Des plats tout aussi beaux que savoureux.
Un décor sobre et agréable, garnis de quelques œuvres d'art uniques et exceptionnelles.