Dans cette nouvelle chronique de nouvelles brèves, nous lèverons le voile sur le nouveau centre national d’entraînement pour les chefs, nous parlerons du défi que représente le nouveau Jack Rouge et de la nouvelle succursale de Nina pizza napolitaine à Québec.

D’abord, l’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec (ITHQ) accueille maintenant le centre national d’entraînement Bocuse d’Or Canada, qui soutient l’équipe culinaire canadienne et l’athlète culinaire Samuel Sirois. L’arrivée de ce centre permettra de mettre de l’avant les arts culinaires et la haute gastronomie grâce au partage de connaissances du réseau du Bocuse d’Or, qui regroupe l’élite mondiale de la haute cuisine. Ainsi, il sera plus facile de faire la promotion du terroir québécois, d’attirer le tourisme gourmand et d’assurer la survie de notre gastronomie. Samuel Sirois, accompagné par ses entraîneurs et de son commis, se prépare actuellement pour les demi-finales de la compétition internationale, digne des Jeux olympiques.

Ensuite, notons l’arrivée d’un nouveau joueur dans le marché montréalais : Jack Rouge. Cette nouvelle enseigne est née de la fusion du JackRose Table&Club et du défunt bar La porte rouge. Le chef de l’établissement sera Jean-Philippe Saint-Denis qui possède une feuille de route fort impressionnante. Il doit maintenant travailler à donner une ligne directrice à l’établissement, qui est davantage un bar qui sert des entrées et des plats à partager et qui offre une sélection de vins. Le menu concocté par le chef, qui adore cuisiner les poissons, est tout en fraîcheur et en couleur. Il s’est grandement inspiré des saisons et de ses nombreux voyages.

Finalement, parlons d’une autre nouveauté, qui a cette fois fait son arrivée dans la vieille capitale la semaine dernière. Après avoir passé six ans dans le quartier Saint-Roch, voilà que Nina pizza napolitaine ouvrira une deuxième succursale, située dans le quartier Saint-Jean-Baptiste. La « pizzéria dont tout le monde parle » offrira également ses pizzas napolitaines faites dans les règles de l’art, selon les instructions reçues d’un grand maestro. Les cheffes sont certifiées pizzaiole napolitaines et utilisent un four à bois importé de Naples dans lequel la pizza ne cuit que 90 secondes.